dimanche 5 avril 2009

Le fruit


Née de deux parents qui se sont égarés, qui se sont enfoncés dans les eaux profondes, leurs amours a été emportés par les flots, les flots du temps, un temps si court leur a été accordés, ils auraient pu s’unir mieux, s’unir devant Dieu n’as pas suffit. Tout s’est évanouit, les rires dans la mélancolie, tout a pris le large. Ils n’ont même pas gardé l’instant, ils ont préféré les mauvais printemps. Je suis le fruit de leur erreur, pas le fruit de leur amour, je suis peut-être même le fruit de leur stupidité. Si seulement ils savaient que un simple regard en dis bien plus que des mots. Au fond que savent-ils faire? Ils n'ont même pas su éléver leur enfants, ah si pardon ils savent ouvrir leur bouteille de ricard a longueur de journée, et à lever la main sur leur sang. Je suis convaincue, que bientôt, j’arriverais à un point où plus rien ne m’atteindra. A trop souffrir je ne sentirais plus rien, je ne sentirais plus cette douleur qui m’envahit trop souvent, d’ailleurs celle-ci est bientôt partie. Cette colère, cette rage qui s’emparais de moi chaque jour de moi. J’ai souhaité passé outre.

Crève


Comment expliquer et par ou commencer. C'est comme quand t'ouvres un vieux tiroir, ou t'avais tout enfouilli, ou tu retrouves les premières choses de ta vie, comme celle que tu as mis là pour les oublier. Tu passes du tableau en gouache bleu et verte que tu avais fait a 4 ans, avec tes doigts, ou t'avais marqué "c'est l'été", tu parles d'un été. Comment peut on oser en parler, lorsque dès que le soleil revient il s'enfuit pour la pluie, pour les nuages, pour l'enfoui de l'envie, l'enfoui de la joie aussi. Puis j'ai fouillé, bouts de papiers, lettres, cartes, grigris en tout genre, parfum, et vieux rouge à lèvres. Crève ses petits papiers et les souvenirs qui vont avec, crèvent les souvenirs que j'arrive même plus a éloigné, crève les mots chargés d'éphémère. Crève..

samedi 4 avril 2009

Comme avant


Tu me saoule comme avant
Et je jure que je perds mon temps
Ramène toi au tournant
Et voyons si tu passe devant
Tu me saoule comme avant

Et comme avant j’en rêve
De tes silences
Et comme avant j’en perds
Ma force
C’est bon maintenant j’en rêve
Que tu me laisse en paix
Car maintenant j’ai Lui
Qui me relève

Lâche-moi
Relâche-moi

Tu me traîne au milieu de tes bars
Tu me laisse au milieu de mon sang
Tu es celle qui l’a fais couler
Tu es contente et respires tes victoires
Mais tu n’as pas compris que cette fois la victoire
Sera mienne !

Et comme avant j’en rêve
De tes silences
Et comme avant j’en perds
Ma force
C’est bon maintenant j’en rêve
Que tu me laisse en paix
Car maintenant j’ai Lui
Qui me relève

Lâche-moi
Relâche-moi.

Famiglia Pov'taches


J'ai une folle envie d'être en été, de dormir avec vous, de me réveiller avec vous, de voir le soleil, oublier ce qu'est un nuage, de sortir a minuit et se dire qu'il fait bon, regarder les étoiles, et s'éveiller dans un champs, faire des pic niques, écouter vos histoires, faire des gâteaux, et des photos, mourir de joie et se dire que putain y'a rien de mieux que cet été.. Je vous aimes.

« Famiglia Pov'tache. »
Gwendolyn

A mon étoile

Meme toi tu philosophes, tu songes et penses. Meme toi tu te demandes si cette planéte tourne bien rond. Tu comprends pas encore ce que disent les grands, et tu rêves, tu rêves et qu'est ce que c'est bon de fendre en courant deux trois nuages au passage..

« Enfants, la fiction n'est que la vérité que cache le mensonge. »
Stephen King.

Papa..? Maman..?


J'ai mal au ventre. Je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à digerer toutes ces paroles aussi froides. Avec le temps...avec le temps va, tout s'en va...Avec le temps..Tout s'évanouit. La vie est écrite, et Dieu seul nous la dicte. J'aimerais enchainer les rires sans gout amer comme Bruel enchaine ses plis de poker. Ma vie est écrite, reste a savoir si Dieu a encore de la salive. Il ne faut pas penser à l'objectif à atteindre, il faut seulement penser à avancer. C'est ainsi, à force d'avancer, qu'on atteint ou qu'on double ses objectifs sans même sans apercevoir.

Confessions Nocturnes


De mes contes il ne reste,
Que des points de détail,
Des remords il ne reste,
Que l'innocente faille,
Et l'accord peu digeste,
A chacun son rail

J'ai croqué dans la pomme
Je suis tombée dans les vappes
Elle a jeté le sérum avant que je ne partes
J'ai hurlé à me tordre, en rageuse diplomate
J'ai tiré les mêmes donnes, j'ai joué les mêmes cartes

S'il ne reste qu'une seconde pour te dire comme c'est simple
Si j'avais moins peur de mon ombre, je parlerais sans crainte
S'il ne reste qu'une seconde pour te dire comme c'est simple
Et moi je reste, moi je reste mûete comme une tombe.
S'il ne reste qu'une seconde pour te dire comme c'est simple

Parfois j’y arrive, et je parle a Lui
Je lui raconte les détails
Et lui sans le savoir sauve ma vie
Je lui raconte sans fissure, sans faille
Je m’ouvre a Lui
Sans avoir la peur d’atterrir sur des rails

Mlle Bozart aime Mr B


Je voulais quelqu'un qui me fasse lever chacun de ces jours, plus profonds et intenses qu'ils soient. Qui me donne le Courage d'attendre tout et n'importe quoi deux heures puis trois avec Lui, qui me fasse tomber par terre, à la renverse, au milieu de sa vie qui me retourne le Coeur, qui me propulse dans un univers merveilleux et innatendus, dans un endroit semblable à un paradis passioné & fougueux, un Amour acharné & ponctuel, qui me prête ses gants, son écharpe quand le froid s'empare de moi, qui m'arrache de mes stupides habitudes, qui me porterai au dessus de tout, me delivrerai de tous ces artifices, mais je créverai pour tout ca, pour Lui. Je l'aime démesurément.

Mlle Bozart





J
'ai le cerveaux qui se liquéfie en ce moment.
Rien n'en sort et encore moins en rentre.
Pardonnez-moi.